DÉCOUVERTE QUÉBÉCOISE
Une percée scientifique majeure a débuté en 1978 à l’Hôpital
général de Montréal et à la faculté de médecine de l’université McGill lorsque
le Dr Gustavo Bounous et son équipe ont mis au point un "précurseur de glutathion" ou isolat de protéine de petit-lait, une découverte québécoise qui fait autorité
à travers le monde.
Les propriétés
bénéfiques d'un précurseur
de glutathion dont nous parlons ci-après sont
le fait d'un produit correspondant intégralement aux normes élaborées dans le cadre de cette
découverte.
1 - ISOLAT
DE PROTÉINES DE PETIT-LAIT
Un précurseur de
glutathion se présente sous forme de poudre, un concentré de protéines bioactives du petit-lait,
pouvant être mélangé à diverses boissons, yogourts ou poudings. Cette excellente source de protéines
a des propriétés analogues à celles du lait maternel.
Le précurseur de glutathion est très faible
en gras et en lactose : concentration inférieure à 1%. Cela est rendu possible grâce à une
technique perfectionnée d’ultra filtration qui permet de supprimer la presque totalité des matières
grasses et du lactose sans dénaturer pour autant les protéines fragiles du petit-lait. Le précurseur de glutathion ne comporte aucun effet
secondaire connu et est assimilable à 100% par l’ensemble des cellules du corps.
Le
précurseur de glutathion est une source importante de cystine (la cystine est une molécule
comportant deux acides aminés de cystéine reliés par un lien disulfide). La plupart des bienfaits de
cet isolat de petit-lait ont été découverts au cours de ces 25 dernières années. Dans le
cadre de multiples expériences cliniques, on a constaté qu’il donnait de bons résultats
lorsque utilisé et prescrit comme traitement dans le cas d’un grand nombre de malaises et de désordres
de santé.
Des chercheurs (notamment le professeur Luc Montagnier) ont comparé l'isolat du Dr Bounous
à d’autres isolats de protéine de petit-lait offerts sur le marché et à un ensemble de protéines
purifiées tels : caséine, spiruline, soya, grain de blé, albumine d’oeuf, poisson, bœuf
et poulet. Il en ressort que, jusqu'ici, seul cet isolat de protéine de petit-lait mis au point par le Dr Bounous a la propriété
d’élever et de maintenir le niveau nécessaire de glutathion dans le corps. Ce précurseur
de glutathion a rendu possible une protection accrue contre une variété de défis immunitaires, incluant
des composés chimiques extrêmement cancérigènes. Le Dr Bounous avait rapidement constaté
qu’il permettait notamment d’inhiber la croissance des cellules
cancéreuses.
2 – LA CYSTÉINE
La cystéine est un acide aminé, précurseur de la protéine
de glutathion. Dans le petit-lait, les acides de cystéine sont naturellement regroupés par deux et rattachés
par un lien disulfide. Ils constituent alors ce que l'on appelle une molécule de cystine. Lorsqu'elle
n'est pas dénaturée, cette molécule de cystine se déplace facilement sous cette forme dans
le plasma sanguin jusqu'à la cellule.
Les protéines labiles du petit-lait
présentes dans le précurseur de glutathion et qui renferment cet acide aminé
rare de cystéine sont la sérum-albumine, l’alpha-lactabumine et la lactoferrine. Ces protéines
particulières du lait de vache contiennent la cystéine à l’exemple des protéines du lait
maternel. Cet agent très rare favorise la production du glutathion intracellulaire,
à la base de l’activité immunitaire.
La
cystéine est présente dans une grande variété d’aliments et se retrouve sous forme de cystine
dans la volaille, le yogourt, l’avoine et le germe d’orge. On retrouve la méthionine et la cystéine
dans les aliments sulfuriques tels le blanc d’œuf, le poivron rouge, l’ail, l’oignon, le brocoli et
les choux de Bruxelles.
3 – LE GLUTATHION ou
« GSH »
La protéine de glutathion
est fabriquée à l’intérieur de la cellule. C’est un tripeptide
composé de 3 acides aminés : le glutamate, la glycine et la cystéine. La cystéine est le
plus rare de ces 3 éléments mais elle est essentielle à la synthèse du glutathion, cette humble
protéine qui habite tous les organismes vivants sur terre et dont l’objectif principal est de récupérer
les déchets.
Le glutathion accomplit en effet plusieurs tâches essentielles
dans l’organisme. Il est à la base du système immunitaire, il
est le principal antioxydant (le « maître antioxydant » selon le Dr John T. Pinto du Sloan Kettering
Cancer Center de New York). La plupart des antioxydants (vitamines C, E) sont exogènes à la cellule, c’est-à-dire
qu’ils proviennent de l’extérieur de l’organisme et qu’il faut, par conséquent, les
ingérer ou les injecter. Au contraire, le glutathion/GSH est l’antioxydant
inhérent, propre à la cellule. Il en préserve l’intégrité en la désintoxiquant
d’une variété de composés dangereux tels les carcinogènes, les péroxydases et les
métaux lourds. De plus le glutathion joue un rôle déterminant dans l’action
des vitamines C et E en les recyclant systématiquement sitôt qu’elles deviennent oxydées.
Le glutathion joue également un rôle clé dans la défense de l’organisme contre les agents polluants et le rayonnement ultraviolet.
C’est pourquoi ses plus grandes concentrations se retrouvent d’abord dans le foie, organe responsable de l’élimination
des substances toxiques, puis dans les reins, le pancréas, le cerveau et le cristallin de l’œil. Le glutathion
se fusionne à ces substances indésirables et provoque leur élimination par une transformation et leur
évacuation sous forme de bile ou d’urine. De grandes quantités de glutathion sont ainsi consommées,
que l’organisme doit remplacer.
À l’heure actuelle, on
dénombre dans l’environnement une douzaine de carcinogènes qui sont éliminés par le glutathion.
Mais le radical-libre le plus réactif que l’on connaisse provient de la respiration: la consommation de
l’oxygène produit en très grande quantité l’oxyradical OH, une molécule instable
à laquelle le glutathion va donner l’atome d’hydrogène manquant qui la transformera en H20,
soit de l’eau, laquelle sera évacuée par l’urine.
La demande de ce précurseur de glutathion (la cystéine)
va inévitablement s’accroître en raison de l’appauvrissement de la qualité
des aliments consécutif à l’activité humaine dommageable pour le milieu naturel. Heureusement, la percée scientifique accomplie pour l’extraction et la conservation
dans leur état original de ces précieuses protéines du lait de vache (précurseur de glutathion)
favorisent une production abondante de glutathion.
La perte de glutathion selon l’âge :
· 0 à 20 ans
perte de 10%
·
21 à 30 ans
perte de 15%
· 31 à 40 ans
perte de 25%
·
41 à 50 ans
perte de 34%
· 51 ans…
perte de 40%...
La science médicale
connaît le glutathion depuis 1888 mais on ignorait jusqu’à la grande découverte du Dr Gustavo Bounous
comment relever naturellement son niveau. Plus de 78 000 articles sont maintenant publiés par la bibliothèque
médicale PubMed sur le sujet contre moins de 1 000 avant la publication du résultat de ses recherches.
4 – COMMENT NOUS ÉPUISONS NOTRE GLUTATHION
Parallèlement à sa diminution naturelle en fonction de l’âge le GSH peut être réduit
par :
- les maladies chroniques telles le cancer,
l’arthrite, le sida, etc;
- une surconsommation d’huiles rances telles
les huiles végétales, polyinsaturées et partiellement hydrogénées;
- la pollution, le tabac, une surexposition aux poisons tels les pesticides et les métaux lourds;
- les métabolites médicamenteux consécutifs à l’usage de médicaments
qui stressent le foie tels Tylenol, Aspirine et les anti-inflammatoires;
- l’usage
de la pilule contraceptive et le recours aux thérapies hormonales.
- le stress;
- la mauvaise alimentation;
- l'exposition aux radiations, etc.
5 –
Les effets physiologiques de
la reconstitution du glutathion
·
Redonne la puissance aux fonctions du système
immunitaire;
· Hausse le taux des cellules T (particulièrement intéressant
pour les sidéens)
·
Augmente la résistance aux bactéries
nocives et aux virus;
·
Diminue l’effet des virus infectieux (herpès);
· Diminue la fréquence des infections virales (rhumes et grippes);
· Stimule les globules blancs dans l’activité des cellules;
· Protège les globules rouges contre les dommages;
· Prévient les maladies cardiaques, l’arthrite rhumatoïde,
diabète et asthme;
·
Réduit les séquelles des crises
cardiaques;
· Stabilise le sucre dans le sang;
· Réduit le phénomène d’oxydation du cholestérol;
· Protège les cellules contre les mutagènes et les carcinogènes;
· Bloque l’action des toxines cancérigènes et la croissance des
tumeurs;
· Réduit les effets secondaires de la chimiothérapie et
de la radiothérapie;
·
Réduit l’inflammation pulmonaire
chez les patients atteints de fibrose
kystique;
·
Éclaircit le mucus dans les poumons et
facilite la toux expectorante;
·
Détoxique : foie, cerveau, yeux, reins,
poumons, rate, pancréas, glandes, etc.
·
Prévient les dommages permanents au foie
par abus de drogues ou alcool;
·
Protège le système digestif;
· Utile dans le traitement des problèmes intestinaux telle la maladie de Crohn;
· Prévient les cataractes et la dégénérescence de la macula;
· Ralentit le processus de vieillissement;
· Favorise une cicatrisation rapide des plaies postopératoires;
· Agit contre les problèmes de peau, de psoriasis et la perte des cheveux;
· Procure beaucoup d’énergie;
· Augmente la capacité de récupération;
· Accroît la performance des athlètes;
· Neutralise l’oxydation des cellules par les radicaux-libres.
6 – LA DÉTOXICATION ou la crise de guérison
Lorsque nous commençons à ingérer régulièrement
un précurseur de glutathion tel que mis au point par le Dr Bounous, notre corps va entreprendre un
processus de détoxication. Selon l’importance du travail à faire, il est possible que nous ressentions
certains effets physiologiques ou psychologiques. Ces réactions indiquent que la détoxication est en cours.
L’élimination définitive des
toxines implique qu’elles soient relâchées dans le flux sanguin et voyagent dans l’appareil circulatoire.
Cela peut causer des inconforts dont voici un aperçu :
Quelques
symptômes de la détoxication :
congestion nasale
constipation
maux d’estomac
symptômes de rhume
diarrhée
douleurs/muscles
maux de tête
gaz
humeur maussade
fièvre
envie fréquente
d’uriner
fatigue
toux
arrêt des menstruations
rêves agités
sueurs abondantes
éruptions cutanées
Le plus délicat alors est de comprendre qu’on n’est pas malade mais que ces symptômes
indiquent plutôt que l’organisme est en train de se nettoyer. Sitôt franchie cette limite psychologique, le reste du processus est facile. La
guérison débute à l’intérieur, de la tête aux pieds, et procède dans l’ordre
inverse d’apparition des symptômes (Loi de guérison selon Hering)
Lorsque
le corps est prêt, le système immunitaire affecte toute son armée au grand nettoyage en vue de le débarrasser
des piles de déchets accumulés. Le corps va alors ramener de vieilles maladies en ordre inverse, comme un film
à reculons, surtout lorsque ces maladies ont été enrayées à l’aide de médicaments.
Cela peut durer de 3 à 4 mois, en fonction de l’âge et de la profondeur
du problème. Les symptômes peuvent se manifester à intervalles plus ou moins réguliers et s’échelonner
sur une période de 6 mois à un an.
L’essentiel de ce que nous devons faire pourrait se résumer
en un mot : repos ! Économisez le plus d’énergie possible
afin de permettre à votre corps de faire son travail. Si la réserve d’énergie
n’est pas suffisante pour mener la guérison à bon terme, le corps ne la provoquera
pas. Consommez de la nourriture facile à digérer, des fruits, des légumes et buvez beaucoup d’eau.
La crise de guérison
est l’outil que la nature donne au corps pour se nettoyer. Ce
processus requiert de l’énergie, car les cellules du sang et des tissus entrent en grande activité. Ce processus n’est pas toujours agréable. Ces réactions sont des ajustements
que fait le corps en vue de retrouver son équilibre et ses forces. Rappelez-vous : chaque crise de guérison débouche sur une vitalité accrue et une sensation
de mieux-être !
9 – CONTRE-INDICATIONS
Dans les deux cas suivants s’abstenir de consommer du précurseur de glutathion:
ü Personnes allergiques à la protéine du
lait. Ces personnes pourraient avoir des réactions violentes. Elles sont généralement
bien au courant de ce fait.
ü
Personnes ayant reçu une greffe majeure et prenant des immuno-suppresseurs.
L’ingestion du précurseur de glutathion pourrait provoquer le rejet de l’organe greffé
car ce produit restaure la puissance du système immunitaire alors que les greffés doivent maintenir leur système
immunitaire à un bas niveau. Dans le cas d’une greffe de la cornée, attendre de 6 à 12 mois et
demander l’avis du médecin traitant avant de consommer le produit.
Médication :
La personne
sous médication doit continuer de prendre ses médicaments tout en consommant du précurseur
de glutathion. Consulter son médecin et être à l’écoute de son corps.
Allergie au lactose :
Les personnes allergiques au lactose ne rencontrent généralement aucun problème
à consommer du précurseur de glutathion, car ce dernier contient moins de 1% de lactose. Or il faut un contenu de plus de 3% de lactose
pour produire une réaction allergique.
l
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