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Le Dr. Paul Cheney MD., PhD


Directeur de la Clinique Paul Cheney, Caroline du Nord, USA

Spécialiste en fibromyalgie, syndrome de la fatigue chronique et immunodéficience

Utilisation d'un précurseur de glutathion scientifiquement élaboré comme traitement


Plusieurs patients souffrant de Fibromyalgie (FM) ou du Syndrome de la Fatigue Chronique ou Immunodéficience (SFCID) utilisent un précurseur de glutathion sur les recommandations du spécialiste de renommée internationale en SFCID et FM, le Dr. Paul Cheney, Md.,PhD. Ce sont des protéines extraites de lactosérum non dénaturé. Ce produit requiert une filtration méticuleuse afin d'en maintenir la pureté. La pasteurisation à basse température préserve les liens disulfures puissants mais fragiles des protéines du lactosérum qui conservent ainsi leurs propriétés bioactives, (la lactoferrine, le sérum albumine, l’alpha lactalbumine et l’immunoglobuline).


Quels sont les avantages de ces protéines non dénaturées par rapport à celles que l’on retrouve sur le marché? Elles contiennent des précurseurs nécessaires à la synthèse intracellulaire du glutathion. Ceux-ci s’adressent directement à la déficience en glutathion qui est presque universelle chez les patients souffrant de SFCID et FM. Le déficit en glutathion se traduit en un haut niveau de peroxyde dans les lipides, (test de Stress Oxydatif des laboratoires Great Smokies) www.gsdl.com et aussi des niveaux élevés de citrate et d’alpha-kétoglutarique, ( Great Plains Organic Acids Test, 913-341-8949.)


De faibles niveaux de glutathion ont deux implications majeures: une défaillance de la fonction de détoxication et une activation virale/microbienne. Le glutathion joue un rôle majeur dans la détoxication. Cette carence réduit la capacité de l’organisme à se débarrasser des toxines de source environnementale ou résultant du métabolisme cellulaire. Les personnes souffrant du SFCID ou FM, deviennent lentement intoxiquées et accumulent les poisons dans les tissus lipidiques, les muscles, les organes et le cerveau, ce qui les rend vulnérables à l’environnement.
 

Les méthodes de détoxication qui se sont avérées efficaces dans des conditions normales, peuvent devenir dangereuses si la carence en glutathion n’est pas premièrement réglée.

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Le glutathion est aussi une arme puissante contre les virus et les bactéries. Une carence en glutathion ne compromet pas seulement les fonctions antivirales et anti-microbiennes, mais a aussi un effet pro viral puissant. Comme la présence du glutathion inhibe les virus et les organismes intracellulaires, son absence les stimule. La déficience en glutathion augmente la réplication virale.


Anthony Falci, chercheur de premier rang au National Intitute of Health (NIH) a démontré que la progression du SIDA peut être complètement arrêtée en augmentant les niveaux de glutathion dans des cultures cellulaires in vitro. Si les niveaux de glutathion peuvent êtres augmentés, la réplication de presque n’importe quel pathogène à l’intérieur des cellules peut être arrêtée.


La découverte d’un moyen d’augmenter les niveaux de glutathion intracellulaire a été de toute première importance à la Clinique Cheney, face à l’étendue de la réactivation des virus chez les personnes souffrant du SFCID ou FM , comme l’Epstein-Barr Virus (EBV), Cytomégalovirus (CMV), et Herpès Humain Virus 6 (HHV6) etc., et l’activation des microbes comme le Mycoplasme, chlamydia pneumoniae et candida.  

« Aucun traitement avant l’utilisation des protéines de lactosérum non dénaturé n’avait eu de succès. Aucune supplémentation, injection ou autre intervention n’avait réussi à augmenter de façon significative les taux de glutathion intracellulaire, où 90% du glutathion est requis. »


Le Dr. Cheney a démontré que les protéines de lactosérum non dénaturé était la meilleure façon d’augmenter les niveaux et fonctions de glutathion. La clinique a conduit une étude de six mois sur ce concentré bioactif de protéines de lactosérum breveté et a découvert qu’il améliorait de façon significative la fonction du glutathion. Les résultats ont été consistants, dans l’ensemble, chez la population de la clinique Cheney. Sept des huit participants ont terminé l’étude. Ils ont tous commencé avec deux sachets par jour. Après trois mois, pour la moitié du groupe, la dose a été réduite à un sachet par jour. Un patient avait eu tellement d’amélioration avec deux sachets qu’il a refusé de réduire l’apport à un sachet et a été exclus de l’étude.


Cinq des sept patients qui ont complété l’étude ont eu des résultats positifs. Les deux qui n’ont ressenti que peu d’amélioration n’avaient dès le départ que des symptômes mineurs. Ils avaient en outre consommé le produit avec leur nourriture. Il est très important que le produit soit pris complètement à jeun afin qu’aucun acide ou enzyme digestive ne soit présent pour le dénaturer. Certains patients prennent des antiacides 30 minutes avant, pour réduire cette possibilité.


Tous les patients testés positifs pour mycoplasma et chlamydia pneumoniae au début de l’étude ont testé négatif après six mois de traitement, peu importe qu’ils aient reçu un ou deux sachets/jour. Ce qui suggère qu’un sachet/jour détruit les bactéries intracellulaires.

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Des trois patients testés pour le HHV6, deux étaient positifs. Le patient qui a pris deux sachets/jour pour les six mois de la durée de l’étude a testé négatif. Le patient qui n’a reçu qu’un sachet/jour est demeuré positif à la fin de l’étude. Ce qui suggère qu’au moins deux sachets/jour sont nécessaires pour neutraliser les virus.


Le dosage est important avec ce précurseur.Ceux qui n’ont pas obtenu de résultats avec deux sachets/jour ont obtenu de très bons résultats avec trois. Toutefois, le Dr. Cheney suggère de commencer le traitement avec deux sachets/jour et d’augmenter à trois seulement si les résultats sont nuls ou minimes et de les prendre pour un minimum de six mois. Chaque sachet contiens 10 gr.

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